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Date de création : 06.12.2007
Dernière mise à jour :
06.02.2019
1404 articles

"retraite par répartition: le rêve du MEDEF et de l'UMP..."
Un débat sur ce thème avait lieu ce vendredi 21 mai. Oui le cercle populaire Joseph Lazare (2 rue Voltaire à Béziers) avait un peu bousculé son planning et programmé un repas à thème en dehors des dates habituelles qui sont le premier vendredi du mois. Mais devant l’urgence… La gravité des choses avait conduit à répondre positivement à une proposition de l’UL CGT de Béziers de prendre cette initiative sur un sujet très actuel. Très sensible aussi, en témoigne l’affluence à cette rencontre : une cinquantaine de personnes dont plusieurs engagées dans l’action syndicale ou politique.
Après une introduction de Paul Barbazange, (secrétaire de la section du PCF de Béziers) la parole a été donnée à Robert Auzéby qui a présenté un exposé très complet de la situation. Très complet et permettant de comprendre ce qui se cache derrière les aspects complexes des réformes en cours.
Le gouvernement, l'UMP et le MEDEF ne supportent pas le système par répartition créé dans un contexte, celui de la Libération, favorable aux salariés. Ils s’efforcent par tous les moyens de faire main basse sur les sommes importantes qui jusqu’ici leur ont échappé. L’offensive sur les retraites est un élément essentiel dans l’objectif qui vise à maintenir le taux de profit des capitaux accumulés et ce au détriment des conditions de vie de l’immense majorité des gens. Le pouvoir d’achat, l’emploi, la sécurité sociale, l’éducation… sont également dans le collimateur des mesures déjà prises ou annoncées. Naturellement le gouvernement est au service des intérêts de la minorité qui est attachée à la pérennité d’un système dont elle tire profit. Les médias font chorus et entretiennent la confusion sur la réalité du problème. En fait est évacuée la question de fond, celle de ce qui est réellement en jeu, à savoir l’impasse à laquelle conduit un modèle de société en fin de course.
On nous sert et nous ressert à l’envi l’évolution démographique avec le Papy boom, le rapport entre le nombre de retraités et celui des actifs, oubliant au passage les gains de productivité acquis, les transferts d’une fraction toujours plus grande des richesses produites dans l’escarcelle des actionnaires des entreprises. La finalité de notre société n’est pas à coup sûr de rendre la vie des gens, qu’ils soient retraités ou actifs, plus agréable, elle est de ponctionner toujours plus et de faire fructifier le capital. A partir de là tout est permis et, comme aurait dit Brassens, «qu’aucun impératif moral ne vous arrête» est-il dicté aux législateurs en tout cas pas les difficultés et les risques que la retraite par capitalisation ferait courir aux salariés.
La discussion a permis d’apporter quelques éléments supplémentaires dans un processus qui a commencé il y a déjà plusieurs années : le décrochage des pensions sur les salaires par exemple qui s’est traduit par l’abaissement du pouvoir d’achat des pensions de quelque 20% cependant que certains retraités (des retraitées surtout) vivent avec un revenu qui les place en dessous du seuil de pauvreté.
Le lien entre l’emploi et le financement des retraites a été mis en exergue. Sur la question plus précise de l’emploi des échanges ont eu lieu. Ce n’est certes pas par la division qu’on résoudra le problème mais par une autre logique que celle de la spéculation financière qui s’accompagne de la fermeture d’usines, de leur délocalisation, du refus de l’investissement productif et de la dégradation des services publics. Des interrogations se sont faites sur l’action proprement syndicale et l’analyse politique de ce qui est en cause. A ce sujet des réponses ont été apportées : chacun dans son domaine contribue à faire échec à la mise en place d’un dispositif qui n’est pas socialement acceptable et le succès de l’action du 27 mai, devant laquelle personne ne peut pas… battre en retraite, est dans l’immédiat une nécessité incontournable même s’il faut déjà envisager une suite.
Jacques Cros
Encore un débat et rien de nouveau. Personne pour rappeler que la loi prévoit toujours lâge de la retraite sans condition à 65 ans, que c'est l'ordonnance de Mitterrand en mars 1982 qui autorise sous condition la retraite à 60 ans. Et, comme dit fort justement notre ami georges,la hiérarchie des normes place la loi au dessus de l'ordonnance.C'est pourquoi nommbre de militants de base, depuis mars 1982 demandent aux dirigeants syndicaux et politiques la transformation de cette ordonnance en loi. Silence assourdissant! C'est pourquoi , également, cette ordonnance a pu être réforméé. Elle le sera encore avec la complicité syndicale et politique de "gauche". Alors quoi faire? Eh bien peut-être exiger 1) de ne pas toucher à l'ordonnance, 2)d'avancer de 3 ans l'âge de la retraite sans condition,3) l'application immédiate du taux de reversion à 60% prévue au programme sarko, ça aussi ça fait partie des retraites. Mais peut-être est-ce trop engagé?Vous voyez ce que je vous disais!( lien çi dessous) Et ça va être une organisation réformiste encore une fois-la cfdt- qui nous entrainera à cause de votre suivisme complice vers une retraite légale sans condition à 68 ans. http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=8177Camille ne doit pas savoir lire... ou bien il met les mots dans l'ordre qui lui convient... Combien, ces temps derniers, a-t-il distribué de tracts, collé d'affiches, combien de manifestations pour combattre le réformisme et le suivisme?L'ami Georges (?) devrait savoir qu'en Droit du travail il existe un "principe de faveur", principe d'ailleurs constitutionnel, qui passe avant la hiérarchie des normes...
Au sujet des retraites,y auait-t-il qu'elqu'un de plus constructif, pour répondre au constat évident de Camille, que celui qui prétend s'exprimer au nom du peuple français( rien que ça) mais qui semble ignorer que Brassens( cité dans le compte rendu) se prénommait Georges?...Ecrire un commentaire